Comme toute la Suisse, Caritas Genève a d’abord dû encaisser le choc. Après plusieurs semaines à vivre au rythme des recommandations sanitaires en lien avec le coronavirus, le couperet est tombé le lundi 16 mars. Face aux directives fédérales et cantonales, une part importante de l’institution s’est mise en veille. Boutiques, brocante, teinturerie, restaurant : tous les points de vente, à l’exception des épiceries, ont été contraints de fermer leurs portes. De nombreux collaborateurs se sont retrouvés au chômage technique et l’institution perdait une indispensable source de revenu.